7 Résultats
Futurologie de la coopération : des rituels de bifurcation
Anna Czapski
Le Grimoire du projet Futurologie de la coopération propose une panoplie d’outils rituels pour imaginer des ressources pour le futur. Mêlant des méthodes de futurologie traditionnelle à des pratiques ouvertes sur une autre forme de rationalité, ces outils invitent à explorer le passé et le présent pour entrevoir de nouvelles possibilités de bifurcations. Pour Anna Czapski, l’une des artistes à l’initiative de cette recherche, il est important aujourd’hui de créer des modes d’emploi pour ritualiser des pratiques, les transmettre et en imaginer d’autres pour trouver de nouvelles voies de transition.
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Spécu’ générale
Jean-Baptiste Molina, chercheur et activiste en fiction spéculative
Fiction (?)
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Quelles ressources de l’imaginaire ?
Pierre Hemptinne
Au fur et à mesure que l’évidence de la crise climatique s’impose concrètement au quotidien, le lexique de ceux et celles qui traitent depuis longtemps de cette urgence se diffuse plus largement. Alors que, jusqu’ici, il faisait office de repoussoir, le terme « sobriété » est mis à toutes les sauces, y compris démagogiques. Il en est de même de la question du « changement d’imaginaire », du « besoin de nouveaux récits », devenue incontournable, ce qui constitue déjà un acquis. Même si, pour certain·es, cela peut ne signifier qu’une mode ou un nouveau marché culturel à conquérir.
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Spéculativismes. Sortir du réalisme capitaliste par la fiction spéculative
Jean-Baptiste Molina, chercheur et activiste en fiction spéculative
L’appel à produire de nouveaux récits est omniprésent. C’est que la panne d’imagination est sévère. Or, « nouveaux récits », ça peut dire tout et son contraire. Nous avons besoin d’un diagnostic clair de ce que signifie être face à cette panne d’imagination.
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Adaptation, récupération et dilution. Du comics à l’écran
Samuel Kakiz
Répondant à des impératifs économiques, symboliques et politiques dus aux sources de financements et aux formats cinématographiques, les œuvres qui mettent en scène des super-héro·ïnes portent rarement un message critique ou subversif. Les univers sont fictionnels tout autant que ce qu’ils combattent. Pourtant certaines œuvres et réadaptations récentes de comics portent un message plus radical.
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Penche-toi, société, et bois à la source du conte
Emmanuel De Lœul
Dans son article, Baptiste De Reymaeker évoquait l’investissement de l’art de raconter par la publicité et le capitalisme à travers le storytelling. Partant de son propre cheminement, Emmanuel De Lœul pose sur le conte un regard à la fois de praticien et de journaliste. Pour lui, l’art de conter suppose de rejeter tout formatage extérieur et constitue en cela un acte subversif, un rempart au storytelling institutionnel, religieux ou politique. Face à l’instrumentalisation du conte à des fins normatives ou mercantiles, il entend « réaffirmer la fonction vitale de l’imaginaire et ses infinies possibilités ». Ainsi l’acte libre du conteur ou de la conteuse permettrait aux individus de se réapproprier ces récits et de leur rendre (ou de préserver) leur capacité à en imaginer d’autres.
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Je veux une histoire
Baptiste De Reymaeker
D’un côté, Walter Benjamin, qui écrit que « l’art de raconter est en voie de se perdre »n. De l’autre, Christian Salmon qui, dans un essai sur le storytellingn, affirme que des histoires on en entend partout, tout le temps – dans la publicité, la politique… Imprégné de ces lectures, Baptiste De Reymaeker a écouté les interventions de Bernadette Bricout, Boubacar Ndiaye, Regina Machado et La Churla lors du colloque anniversaire de la Fédération de Conteurs Professionnels de Belgique. Il propose ici un croisement de ces réflexions et analyse les interrogations qu’elles lui ont laissées.
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bruxelles  
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